A la suite de notre publication de l’article intitulé : « L’associu Sulidarità et Patriotti dénoncent l’agression d’un prisonnier corse à la prison d'Oléans par les équipes d’intervention » l'Adminstration pénitentiaire nous fait part de sa version des faits.
« L’administration pénitentiaire dément formellement un usage disproportionné de la force envers le détenu cité.
A sa sortie de cour de promenade, le détenu en question a refusé de se soumettre aux procédures habituelles de réintégration en cellule. Cette demande lui a été formulée à trois reprises sans que le détenu n’obtempère, nécessitant l’intervention d’un agent ERIS.
Par la suite lors de sa progression dans l’escalier, le détenu a de nouveau causé un trouble au bon fonctionnement de l’établissement, nécessitant une nouvelle intervention des ERIS, pour le réintégrer à sa cellule, selon les procédures en vigueur.
À noter :
A sa sortie de cour de promenade, le détenu en question a refusé de se soumettre aux procédures habituelles de réintégration en cellule. Cette demande lui a été formulée à trois reprises sans que le détenu n’obtempère, nécessitant l’intervention d’un agent ERIS.
Par la suite lors de sa progression dans l’escalier, le détenu a de nouveau causé un trouble au bon fonctionnement de l’établissement, nécessitant une nouvelle intervention des ERIS, pour le réintégrer à sa cellule, selon les procédures en vigueur.
À noter :
- Sur la centaine de détenus positionnés sur les deux cours pendant la fouille, seuls 3 se sont montrés non coopératifs sur les consignes données au moment de la remontée en cellule.
- Les ERIS n’ont aucune connaissance des profils des détenus et ne connaissaient donc ni le motif de leur incarcération, ni leur origine géographique. »
