Le Front International de décolonisation dont fait partie Nazione apporte dans un communiqué, où il dénonce la situation faite par la France à Mayotte, son "soutien fraternel au peuple mahorais'
La tempête Chido a gravement affecté plusieurs régions de l’Océan Indien dont les Comores et les provinces côtières de Nampula et Cabo Delgado, au nord du Mozambique.
Avec des vents soufflant à plus de 250 km/h, des pluies d’une rare intensité, desvagues pouvant atteindre jusqu’à 9 m 30, l’île de Mayotte, sous administration française, est la région à avoir le plus souffert du passage de Chido.
Cette tempête, la plus violente depuis 90 ans, de l’avis même des Mahorais, a ravagé le pays, détruisant des milliers d’habitatons de fortune, fragilisant les structures administratives et hospitalières, privant la population d’électricité, d’eau et de nourriture.
Cette situation catastrophique fait craindre des épidémies de fièvre typhoïde, de leptospirose ou encore de choléra dont la souche la plus virulente a touché Mayotte en février 2024.
Si le nombre de morts s’élève pour le moment à 22 personnes, les autorités françaises envisagent la possibilité de « centaines voire de milliers de morts ».
L’explicaton principale de cette catastrophe humaine se trouve dans la précarité économique et sociale de Mayotte qui, de protectorat français au sein de l’archipel des Comores depuis 1841 puis Territoire d’Outre-Mer en 1946, est devenue, après le référendum de 1974, une collectvité territoriale puis un département français, en totale violation du droit international.
Ainsi 38% de la population vit dans des baraquements sommaires de feuilles de tôles. 77% de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté français.
Le Front International de décolonisation exprime sa solidarité avec tous les pays frappés par la tempête Chido.
Il apporte son soutien fraternel au peuple mahorais dans la terrible épreuve qu’il traverse.
Il dénonce la politque coloniale française à Mayotte qui a généré précarité et misère.
Avec des vents soufflant à plus de 250 km/h, des pluies d’une rare intensité, desvagues pouvant atteindre jusqu’à 9 m 30, l’île de Mayotte, sous administration française, est la région à avoir le plus souffert du passage de Chido.
Cette tempête, la plus violente depuis 90 ans, de l’avis même des Mahorais, a ravagé le pays, détruisant des milliers d’habitatons de fortune, fragilisant les structures administratives et hospitalières, privant la population d’électricité, d’eau et de nourriture.
Cette situation catastrophique fait craindre des épidémies de fièvre typhoïde, de leptospirose ou encore de choléra dont la souche la plus virulente a touché Mayotte en février 2024.
Si le nombre de morts s’élève pour le moment à 22 personnes, les autorités françaises envisagent la possibilité de « centaines voire de milliers de morts ».
L’explicaton principale de cette catastrophe humaine se trouve dans la précarité économique et sociale de Mayotte qui, de protectorat français au sein de l’archipel des Comores depuis 1841 puis Territoire d’Outre-Mer en 1946, est devenue, après le référendum de 1974, une collectvité territoriale puis un département français, en totale violation du droit international.
Ainsi 38% de la population vit dans des baraquements sommaires de feuilles de tôles. 77% de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté français.
Le Front International de décolonisation exprime sa solidarité avec tous les pays frappés par la tempête Chido.
Il apporte son soutien fraternel au peuple mahorais dans la terrible épreuve qu’il traverse.
Il dénonce la politque coloniale française à Mayotte qui a généré précarité et misère.